Et oui, les Solidays !! Mais c’est pas possible me direz vous, on va la voir partout cette Mademoiselle K. On n’arrive pas à s’en défaire ! Le veut on vraiment, c’est la question !
Alors les Solidays, à l’hippodrome de Longchamp, c’était tout un programme. Pas mal tout ce beau monde ! Et puis en plus la dame de la météo avait prévu du grand beau temps
. Ok, il faudrait que j’arrête de croire au père noël
ET à la météo ! Je ne me plaindrai pas car sur les trois jours de festoche, seulement dimanche aprèm nous a fait revivre Woodstock (oui, je vous assure, il y en a même qui se roulaient dans la boue et après ils s’étonnaient que personne ne leur fasse des « free hugs »
!)… Donc vendredi je me suis éclipsée discrètement du bureau pour pouvoir profiter un peu de la programmation. C’était bien sûr sans compter sur mon charmant boss
qui rôdait dans les couloirs et m’a vu passer en jean (ça change du tailleur) sur la pointe des pieds devant son bureau.. Oui, il faut définitivement que j’arrête aussi de croire aux cloches de Pâques ou aux miracles
… Mince ! Je vais perdre mon innocence ! Enfin, ayant réussi à corrompre la secrétaire de mon département, j’ai pu profiter du fait qu’elle attire mon chef ailleurs pour descendre l’escalier (enfin un étage, je vais pas me taper les 42 étages d’un coup ! Vous voulez ma mort
?). Arrivée au métro, mon billet a fait des siennes : ok, faut pas le mettre à côté de son portable ou de ses clés ! Je devrais le savoir mais… Non, il s’était encore démagnétisé
… Galère, surtout quand j’ai vu la longue queue au guichet ! Rhooooo ! Bon, on respire, on sourit, on pense à la prochaine fois où on ira chez le coiffeur se faire couper les tiffs… Ca c’est fait ! A la sortie Porte Maillot, je chope la navette et profite du paysage du bois alentour et de ses hôtes. Sur site, je découvre le manège à sensation (nacelles en cercle où l’on arrive vite à avoir la tête en bas !) et les autres stands : associations, bouffe et les scènes. La scène Domino est juste à l’entrée du site. Je vais y faire un tour et salue Karine qui squatte déjà la table de son. Eiffel entonne sa première chanson sur la scène Phoenix mais je regarde les loulous faire la balance sous le regard de quelques badauds (et fans). Un petit tour voir Eiffel et c’est l’heure du concert. Katerine arrive avec ses ailes noires et balance la sauce. Le temps est chronométré et passe si vite. On en redemande mais c’est vrai que le public n’est pas très «chaud» : « Tu vas bouger ton cul Paris ! » Hurle Katerine ! Ralàlà !! Je prends des photos en sautant partout ! Pas gagné tout ça ! Enfin, je vous en mets quelques unes !
Durant la balance:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je vous mets une image du concert
(mais c'est juste parce que j'ai pas le temps!)
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